La réalité de l’Italie aujourd’hui oblige à réexaminer ce mythe. Le gouvernement de coalition Salvini-Di Maio doit une partie de sa popularité à son racisme assumé. La violence étatique est relayée par une violence capillaire, quotidienne plus brutale que ce qu’on observe en Espagne ou en Grèce. De quoi remettre en cause l’idée d’une nation italienne de « braves gens » ?
Accueil [Conférence-débat] De l’Italie des lois raciales de 1938 au gouvernement Salvini-Di Maio : un racisme de « braves gens » ? par Laurent Vogel, chercheur à l’Institut syndical européen