La chanson française doit beaucoup aux auteur·es et aux interprètes d’origine juive. Beaucoup sont resté·es très discrèt·es sur leur généalogie, au point d’incarner la France archétypique, comme Jean Ferrat, Guy Béart ou Barbara. Mais, au fil des années, le refoulé remonta à la surface ce qui déboucha sur quelques surprises…
La chanson de Sarah se présente comme une « conférence chantée ». En réalité, c’est un spectacle musical qui raconte une histoire à travers des chansons, originales ou du répertoire, interprétées à la guitare ou à l’accordéon, ou écoutées dans leur version originale. Au terme du spectacle, on devrait en savoir un peu plus sur l’identité juive : l’immigration ouvrière, les petits métiers, le génocide, la différence entre ashkénazes et séfarades, Israël et le sionisme, le yiddish…
Henri Goldman a été longtemps rédacteur en chef de la revue belge Politique. Mais, dans une autre vie, il a été auteur-compositeur-interprète et s’est produit des dizaines de fois sur scène en Belgique et en France – notamment à la Fête de l’Huma et au Printemps de Bourges. Là, il reprend du service.
Avec Igor Maury, guitares, et Laurence Vanpaeschen, chant et accordéon.
ENTRÉE GRATUITE. Réservations à l’adresse info@upjb.be